Evaluer cet article Rome, l’unique objet de mon ressentiment ! Rome, à qui vient ton bras d’immoler mon amant ! Rome qui t’a vu naître et que ton coeur adore ! Rome enfin que je hais parce qu’elle t’honore ! Horace. Pierre Corneille A Lire AussiIl n’est pas donnéD’énormes arums dressent leurs cornetsLa végétation s’épaissit; lesPour désirer laisser des tracesJ’en accepte l’augure etQui aime l’arbreLes fous sont étonnants dansSois sage, ô ma douleur, etCelui qui a le bout de la langue tranchant se doitC’est un homme fort riche, marie à une femme adorable et PARTAGER