Evaluer cet article L’homme la dévorait toujours des yeux. Devrait-elle, toute sa vie, être ainsi dévisagée ? Thérèse Desqueyroux 1927 Une citation de François Mauriac A Lire AussiLIX. SonnetLe Corps ravi, l’Âme s’en émerveilleVotre véritable amiL’odeur aigre des sèvesLes enfants n’ont ni passé niEssai haïku 1Pierre par pierre, la maison se construit.Es-tu courbé par l’âge ou paralysé, avec de l’or tu Tous les matins un agent est de service très Cet espoir que nous avons tous d’être compris, rassurés, consolés par la PARTAGER