Evaluer cet article Me rendras-tu, rivage basque, Avec l'heur envolé Et tes danses dans l'air salé, Deux yeux, clairs sous le masque. A Lire AussiIl y a un moment de laLe putois ne sait pas qu’ilA la saint-Vallier, la charrue sous les poiriers Le con ne perd jamais sonUne main lave l’autre.Indochine collabore avec Erwin Olaf pour son nouvel albumSaint-Polycarpe nous écharpe.D’ où vient cette aubade câlineL’homme de la pireLe borgne n’a qu’un oeil, mais il pleure quand PARTAGER