Evaluer cet article Je me surmène de paresse. Journal 30 septembre 1897. Jules Renard A Lire AussiPLAISIR D’AMOURLe monde auraitUn gros buveur de pastis attaque enLes bravades enfin sont desDix francs de larmes neSi le serpent te mord, le jour où tu Un seul enfant bien élevé vaut mieux que dixLe sel vient du Nord, l’or vient du Sud, l’argentLune barbouillée appelle vent ou giboulées.La nécessité ne connaît pas de loi. PARTAGER