Evaluer cet article Les bravades enfin sont des discours frivoles, Et qui songe aux effets néglige les paroles. La mort de Pompée. Pierre Corneille A Lire AussiUn baiser n’est pas grandLes lois et les censures compromettentLe succès, ce terrible dominateur des consciences.La guerre, on le sait, fut pendantComment appelle-t-on une petite culotte d’une blondeTout ce qui doit durer est lent à croître.La jeune fille de BudapestPlace des InvalidesLaisse-moi …Porcelet d’un mois, oison de PARTAGER