Evaluer cet article Deux hommes qui ne se connaissent pas sont capables par amour-propre de passer l’un à côté de l’autre dans un désert sans se saluer. Extrait de son Journal 1893-1898. Jules Renard A Lire AussiAccalmie VIJ’en laissai deux sans vieLa solitude apporte tout,Une femme intelligente doitChapitre XXIL’homme entre dans un bar avec une autruche derrière lui. Comme Quand saint-Médard ouvre les yeux, écoutes voir s’ilEn décembre, journée courte, longue nuit. L’abeille se tait, le Ce sont les faiblesses du coeur qui font les bellesOn n’a qu’une chose à soi, c’est son PARTAGER