Evaluer cet article J’en laissai deux sans vie et mis l’autre aux abois. Oedipe. Pierre Corneille A Lire AussiMon âme est triste jusqu’à la mort !La faute est comme un galet glissant : celui qui ne fait pas attentionIl arrive que les grandes décisions ne se prennent Avoir conscience qu’on fait une bêtise et la faire toutTu dis que tu aimes les fleurs etGérard Mordillat admiratif devant les femmesLa mesure de l’amour, c’estLa terre ne nous a pas été léguée par nos parents,Se cacher la têteL’ironie est surtout un jeu PARTAGER