Evaluer cet article Toute cette bonté me tue. Si je m’interdis d’être un peu méchant à quoi suis-je bon ? Journal 19 septembre 1904. Jules Renard A Lire AussiLes vrais départs, les plus tragiques, sont ceux L’argent mène l’homme enOlivia Stendhal, lauréate du 37ème prix du Livre InterCommence par te lever, ensuite tu feras lever ton Il est faux de croire queLa beauté de l’âge mûr estCeux qui font du feu (ensemble) longtemps se brulent lesUn fou avise bien unLe dimanche soir, l’un des pires moments que l’on puisse imaginer : encoreDans les bras de sa mère, tout PARTAGER