Evaluer cet article Toute cette bonté me tue. Si je m’interdis d’être un peu méchant à quoi suis-je bon ? Journal 19 septembre 1904. Jules Renard A Lire AussiL’héritage offre laDans le domaine des sentiments, leCelui qui chanteJ’en arrivais presque àTel jour Saint-Brice, tel jour Noël, tel premierEn septembre, sois prudent, achète bois et vêtement.Ma nef passe au destroit d’une mer courroucéeUn homme parfaitement heureux,Pour gagner sa vie, Anne Sinclair vaCheval de Renfort PARTAGER