La France, c'est le français quand il est bien écrit. Napoléon Bonaparte
Citations Oscar Wilde / Citations sur l’amour
L'homme veut être le premier amour de la femme, alors que la femme veut être le dernier amour de l'homme. Oscar Wilde Une citation sur l'amour
On s’endort, l’heure, on s’indiffère. L’humanité dans sa diversité, ce même rêve fait. En 24 heures, la terre aura tourné, 7 milliards d’individus, en harmonie se sont éveillés. Vaste programme, qu’il est de le conter. Il parle à l’âme. Rien n’est oublié: végétaux, animaux, tout est lié. En symbiose, il est lucide, prémonitoire, tel un…
Rôdeuse au front de verre,
Son coeur s’inscrit dans une étoile noire.
Ses yeux montrent sa tête,
Ses yeux ont la fraîcheur de l’été,
La chaleur de l’hiver.
Ses yeux s’ajourent, rient très fort.
Ses yeux joueurs gagnent leur part de clarté.
Rôdeuse au front de verre.
Son coeur s’inscrit dans une étoile noire.
Ses yeux montrent sa tête,
Ses yeux ont la fraîcheur de l’été,
La chaleur de l’hiver.
Ses yeux s’ajourent, rient très fort.
Ses yeux joueurs gagnent leur part de clarté.
Rôdeuse au front de verre.
La vie immédiate
Paul Éluard
Tous les arbres toutes leurs branches toutes leurs feuilles
L’herbe à la base les rochers et les maisons en masse
Au loin la mer que ton oeil baigneCes images d’un jour après l’autre
Les vices les vertus tellement imparfaits
La transparence des passants dans les de hasard
Et les passantes exhalée par tes recherches obstinées
Tes idées fixes au coeur de plomb aux lèvres vierges
Les vices les vertus tellement imparfaits
La ressemblance des regards de permission avec les yeux que tu conquis
L’herbe à la base les rochers et les maisons en masse
Au loin la mer que ton oeil baigneCes images d’un jour après l’autre
Les vices les vertus tellement imparfaits
La transparence des passants dans les de hasard
Et les passantes exhalée par tes recherches obstinées
Tes idées fixes au coeur de plomb aux lèvres vierges
Les vices les vertus tellement imparfaits
La ressemblance des regards de permission avec les yeux que tu conquis
Femme avec laquelle j’ai vécu
Femme avec laquelle je vis
Femme avec laquelle je vivraiToujours la même
Il te faut un manteau rouge
Des gants rouges un masque rouge
Et des bas noirs
Des raisons des preuves
De te voir toute nue
Nudité pure ô parure parée
Femme avec laquelle je vis
Femme avec laquelle je vivraiToujours la même
Il te faut un manteau rouge
Des gants rouges un masque rouge
Et des bas noirs
Des raisons des preuves
De te voir toute nue
Nudité pure ô parure parée
Seins ô mon coeur
La vie immédiate
Paul Éluard
(…)
Je n’ai rien séparé mais j’ai doublé mon cœur
D’aimer, j’ai tout créé : réel, imaginaire,
J’ai donné sa raison, sa forme, sa chaleur
Et son rôle immortel à celle qui m’éclaire.
Je n’ai rien séparé mais j’ai doublé mon cœur
D’aimer, j’ai tout créé : réel, imaginaire,
J’ai donné sa raison, sa forme, sa chaleur
Et son rôle immortel à celle qui m’éclaire.
Derniers poèmes d’amour
Paul Éluard
(…)
Nous sommes corps à corps nous sommes terre à terre
Nous naissons de partout nous somme sans limites
Nous sommes corps à corps nous sommes terre à terre
Nous naissons de partout nous somme sans limites
Derniers poèmes d’amour
Paul Éluard
(…)
VII
Nous sommes à nous deux la première nuée
Dans l’étendue absurde du bonheur cruel
Nous sommes la fraîcheur future
La première nuit de repos
Qui s’ouvrira sur un visage et sur des yeux nouveaux et purs
Nul ne pourra les ignorer
VII
Nous sommes à nous deux la première nuée
Dans l’étendue absurde du bonheur cruel
Nous sommes la fraîcheur future
La première nuit de repos
Qui s’ouvrira sur un visage et sur des yeux nouveaux et purs
Nul ne pourra les ignorer
Derniers poèmes d’amour
Paul Éluard
Dit de l’amour
(…)
J’ai dans les mains deux mains abandonnées.
(…)
Derniers poèmes d’amour
Paul Éluard