Articles by lilly


union
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On s’endort, l’heure, on s’indiffère. L’humanité dans sa diversité, ce même rêve fait. En 24 heures, la terre aura tourné, 7 milliards d’individus, en harmonie se sont éveillés. Vaste programme, qu’il est de le conter. Il parle à l’âme. Rien n’est oublié: végétaux, animaux, tout est lié. En symbiose, il est lucide, prémonitoire, tel un…

Rature ses maux de la pensée, porte le chapeau de ses plaies dans la mémoire, liste ses vices de l’absent. Triture la mélodie de la mélancolie. Apporte des sons à l’écrit silencieux. Piste ses manques d’amour. Page blanche sur le bonheur, les écrits ne sont que des taches d’encres… calligraphie limité de l’ âme, ne…

Danser
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Danser devant ton corps. Deux mains chantent ton corps. Dans ses corps il n’y a pas de remords. Demain ils chanteront encore dans l’aurore. Dansez encore avant la mort. Demain déchantent sans démordre. Dans ces encore je chante. Dés demain elles me hanteront de leurs corps. Dans ses décors qui m’enchante… Des mains qui dansent…

lettre amour
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  Je vis d’idylle fragile, les sentiments sont loin de moi, pléthore de corps à corps. Je vis pour la musique, boite féerique si chimérique, à l’ écouter j’aurai vécu des milliers de vision. Je t’écris et quémande une faveur, quand l’heure de mon bonheur sonne, ne me fait pas l’affront d’y inclure le temps,…

poéme amour
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Le Phare voulait être Néon, pour scintiller dans la mort de la nuit. Ils étaient tous les deux des lumières pour la nuit, mais le Phare imposant était bougon. Il songe à l’océan, de ses colères ,jamais, il ne fuit, et dans ce profond puits de néant, il rêve de jeter  des faisceaux qui luisent….

poeme lion
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Il est fou ce lion, pour une carotte, il se ferait lapin nain. C’est qu’il broute du foin le mignon! et en mangerait ses crottes! Des longues oreilles, il voudrait bien. Mais pourquoi un tel attrait? Il n’a pas du tout les traits? A-t-il été par les lapins crétins bercés? Mystère de la vie autour…

poeme
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Je papillonne sur l’océan du temps, charbonne mes mots chaudement, fredonne un chant de sirène maladroitement, cautionne des mâles, pauvre de sentiment. Je me donne des ailes de papillons, abandonne mes baisers ailées vermillon, chantonne pour que les cœurs se colorisent par millions, m’adonne à des plaisirs de bataillons. Mes ailes chavirent dans la volière,…

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