Evaluer cet article Vingt-huit novembre mil neuf cent quarante-six Nous ne vieillirons pas ensemble. Voici le jour En trop : le temps déborde. Mon amour si léger prend le poids d’un supplice. Derniers poèmes d’amour Paul Éluard Vingt-huit novembre mil neuf cent quarante-six Derniers poèmes d'amour Poésie Paul Eluard A Lire AussiUn grand Etat s’agenouilleLes pages Facebook sont payantesAlors Paul s’expliqua,Pourquoi les blondes ont-elles toutes un bleu auUn crime que son auteur neQui habite unSe passer des choses aigres afin de se réserver pourMais Wilde n’oubliait jamais d’êtreTempérature d’août – A nosC’est un veau qui rentre de l’école et montre son bulletin a son père PARTAGER