Evaluer cet article Un homme que ses malheurs avaient rendu polonais. Une citation de Frédéric Dard A Lire AussiLe Te Deum du 1er janvier 1852Peur du boucher et du facteurTrop de pitance, peuPourquoi est-ce qu’un lave-linge est mieuxQu’est-ce qui est tout noir, tout crépu et quiPour être heureux il faut êtreOù un malheureux met à sécher, le soleil neDe fortune et de santé il ne faut jamais seMa jeunesse est finie Ma jeunesse est partie Je reste surAvant Bonne-Dame de mars, autant de jours les raines chantent, PARTAGER