Evaluer cet article Trône, à t’abandonner je ne puis consentir. Rodogune, princesse de Parthes. Pierre Corneille A Lire AussiL’éloge des absents se fait sans flatterieOn ne peut rien écrire dansSi un homme atteint leLes mauvaises pensées neQuand une femme parle,Ceux qui ont le mieux parléEn péril – est ta paix.Bien des gens sont comme les horloges qui indiquentQuand les pigeons sont perchés, la pluie estIl est dans la nature des femmes de dédaigner qui les aime et d’aimer PARTAGER