Satire de mots!

Dans  Poésie Pierre Raoux
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(C’est parce-que le plaisir des sens existe, que l’interdit n’a pas de sens !)

Oh ! Vous les impures, qui n’êtes plus vierges
Et qui osez exhiber, vos triangles de gazon.
Afin d’étouffer des noms de dieu de feux de cierges
A vous sentir submergées, de joie à l’unisson.
Oh ! Vous les démones séductrices, non obtus.
Vous qui partez en guerre, avec vos sains obus
Et entraînez tous ces jeunes taureaux en rut
A se défaire de leurs cornes tordues, de vertu.

Dieu seul sait pourquoi, se sont les  poissons
Où vont vos appétences, que nul n’arrête
A dominer ce dynamisme, un tantinet polisson.
D’agiter leurs queues, bien avant la tempête.

De plus vous avez l’intuition, ce sixième sens
D’éviter l’influence, excusez-moi ! Des balances
J’entends tous ceux qui ont la fâcheuse manie
De vénérer leurs fesses, plus que le pain bénit.

Et cette belle de nuit, en phantasme s’imagine
Aux prises, avec une vraie  force de la nature.
Une bête de lion, pour lui servir de riche pâture
elle une gazelle, mettant ainsi fin à son régime.

Au septième ciel, elle ne s’irrite pas du mirage
De ce singulier duo bisexuel, sans ambages
La priant de jouer, dans un trio et s’embarquer
A découvrir en gémeaux, sa belle voie laquée.

Ne la croyez-pas un peu piquée, ni même malade
Si pendant quelques temps, elle fait cure de dessert
C’est qu’elle aura subi, comme un hère de cancer
Un de ces mortels cérébraux, la gavant de salade.

Une seule fois elle céda, à ce culte du pouvoir
Mais c’est retournée, qu’elle osa lui faire front.
Au bélier bien connu, par ses coups de boutoir.
Qu’elle releva ainsi, par derrière cette affront.

Grâce soit rendue à l’instinct qui la tient éveillée.
D’éviter la rancœur du scorpion, et son aiguillon.
De garder le saint appétit à manger de l’oreiller
Sans tomber, dans un oisif train-train de roupillon.

Elle ne dédaigna pas à devenir, pour un temps
L’amante d’un mûr, l’antinomique du puceau
Pour mouiller aux pores, aux rythmes du verseau
Et vider au compte-gouttes, sa cruche à mi-temps.

Elle aima aussi réchauffer, ce froid tempérament
Pour transir du capricorne, son épi centre membre
Dans des postures, non orthodoxes aux musulmans.
Sans recourir au viagra, où tout autre gingembre.

Alors ne vous étonnez-pas, vous autres partenaires
De retrouvez un de ces jours, sous votre propre toit
Une diablesse de sagittaire nue, tel un paratonnerre
Sur un nuage, avec un grain de folie entre ses doigts.

Satire de mots! Poésie Pierre Raoux Poésies contemporaines

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(C’est parce-que le plaisir des sens existe, que l’interdit n’a pas de sens !)

Oh ! Vous les impures, qui n’êtes plus vierges
Et qui osez exhiber, vos triangles de gazon.
Afin d’étouffer des noms de dieu de feux de cierges
A vous sentir submergées, de joie à l’unisson.
Oh ! Vous les démones séductrices, non obtus.
Vous qui partez en guerre, avec vos sains obus
Et entraînez tous ces jeunes taureaux en rut
A se défaire de leurs cornes tordues, de vertu.

Dieu seul sait pourquoi, se sont les  poissons
Où vont vos appétences, que nul n’arrête
A dominer ce dynamisme, un tantinet polisson.
D’agiter leurs queues, bien avant la tempête.

De plus vous avez l’intuition, ce sixième sens
D’éviter l’influence, excusez-moi ! Des balances
J’entends tous ceux qui ont la fâcheuse manie
De vénérer leurs fesses, plus que le pain bénit.

Et cette belle de nuit, en phantasme s’imagine
Aux prises, avec une vraie  force de la nature.
Une bête de lion, pour lui servir de riche pâture
elle une gazelle, mettant ainsi fin à son régime.

Au septième ciel, elle ne s’irrite pas du mirage
De ce singulier duo bisexuel, sans ambages
La priant de jouer, dans un trio et s’embarquer
A découvrir en gémeaux, sa belle voie laquée.

Ne la croyez-pas un peu piquée, ni même malade
Si pendant quelques temps, elle fait cure de dessert
C’est qu’elle aura subi, comme un hère de cancer
Un de ces mortels cérébraux, la gavant de salade.

Une seule fois elle céda, à ce culte du pouvoir
Mais c’est retournée, qu’elle osa lui faire front.
Au bélier bien connu, par ses coups de boutoir.
Qu’elle releva ainsi, par derrière cette affront.

Grâce soit rendue à l’instinct qui la tient éveillée.
D’éviter la rancœur du scorpion, et son aiguillon.
De garder le saint appétit à manger de l’oreiller
Sans tomber, dans un oisif train-train de roupillon.

Elle ne dédaigna pas à devenir, pour un temps
L’amante d’un mûr, l’antinomique du puceau
Pour mouiller aux pores, aux rythmes du verseau
Et vider au compte-gouttes, sa cruche à mi-temps.

Elle aima aussi réchauffer, ce froid tempérament
Pour transir du capricorne, son épi centre membre
Dans des postures, non orthodoxes aux musulmans.
Sans recourir au viagra, où tout autre gingembre.

Alors ne vous étonnez-pas, vous autres partenaires
De retrouvez un de ces jours, sous votre propre toit
Une diablesse de sagittaire nue, tel un paratonnerre
Sur un nuage, avec un grain de folie entre ses doigts.

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