Evaluer cet article Quelle souffrance pour moi de t’avoir si prêt de moi sans pouvoir te toucher, t’embrasser, te faire sentir mon désir. A Lire AussiMarie, baisez-moi ; non, ne me baisez pasL’administration en FranceIl est bien plus difficile qu’on neLa critique, art aisé, seOn n’oublie pas l’arbusteLa bonté est remplacée chezJe passe ma vie à me poserLorsque que la femme a un certain âge nous disons qu’elle est Passé la Notre-Dame, sème ton froment, il est Qu’est-ce-que le temps ? Si personne ne me le demande, je le sais. Si PARTAGER