Evaluer cet article Quand on peut voir si nettement les défauts des autres c’est qu’on les a. Journal 26 octobre 1908. Jules Renard A Lire AussiRequiescat in paceLe visage humain estUn estomac creux Un sanglier blessé, celui-lànon avere né arte né parteL’habitude des faits lesPremière partie IX: L’affaire BoucoyranA la saint-Laurent, la faucille au froment.Toutes les batailles de la vie nous enseignent quelque chose,Anthropophages : rares hommes capables de trouver du goût PARTAGER