Evaluer cet article Peu me chaut ce que je suis ou ce que je ne suis pas moi-même. Je ne m’arrête plus à cela. Journal, 1902. André Gide A Lire AussiLa faim est un nuage d’où ilLe monde est le champL’amour est une fleur tropL’homme heureux n’attrape jamaisC’est chez les étrangers que le piment paraît leQuand on aime quelqu’unHeureux les hommes qui pourLa connaissance est la clé dules angéliquesLa Folle PARTAGER