Evaluer cet article Paraissez, Navarrais, Mores et Castillans. Le Cid. Pierre Corneille A Lire AussiPartir par évaporationboule de chagrinPresque tous les hommesCi-gît Jean qui baissait lesJe t’aime en poème deEtre heureux, c’est toujoursCela me rappelle le mot d’unOn apprend l’utilité des fesses que lorsque vient le Oignon bien habillé verra forte gelée.La mémoire est chose curieuse. Plus on vieillit, plus on connaît de PARTAGER