Evaluer cet article Ou laissez-moi périr, ou laissez-moi régner. Cinna, ou La clémence d’Auguste. Pierre Corneille A Lire AussiVoici le rendez-vous des Enfants sans souciLe boeuf et l’âne grisLa seule excuse de Dieu,Soit A, un succès dans laQue cherche une blonde dans une rizière ? OncleSeuls les artistes et lesC’est la maman de Toto qui dit au[Saint Marc] Entre Georges et Marquet, un jour de l’hiver Au sept d’avril, après le coucou, c’est le J’ai toujours pensé que l’écriture était proche de la musique mais beaucoup moins pure PARTAGER