Evaluer cet article On cesse de s’étonner devant un miracle constant. Extrait de Les nouvelles nourritures. André Gide A Lire AussiLes lauriers se trouventIl est entouré ordinairement Tout est gris, noir ouSi la famine vient, la suprême loi c’est le salut duQui sème à la saint-Laurent y perd sa graine et sonLa fait du véritable artistePour les transports de cargaisonsRosée matutine, pluie sérotine.Quelle est la différence entre une blonde etJe suis en train d’écrire un livre. J’ai déjà tous les numéros PARTAGER