Evaluer cet article Nous marchions à pas légers, muets, pour n’effaroucher aucun dieu, ni le gibier, écureuils, lapins, chevreuils, qui folâtre et s’ébroue. Si le grain ne meurt écrit en 1926. André Gide A Lire AussiQuand on s’aime pour plus d’une raisonL’homme ne grandit pas quand la nation décline.Le voile intégral, ce n’est pas un signe religieux, Le divertissement le plus agréable estJe ne connais qu’une Eglise:Avoir pitié de son ennemi, c’est être sans L’inconscience est l’apanageLa jeunesse constitue unL’ami qui souffre seul fait une injure àLa liberté a les limites que PARTAGER