Evaluer cet article Nous étions au haut de la mosquée quand le muezzin est monté chanter l’appel à la prière. Journal, 9 avril 1896. André Gide A Lire AussiLe pardonSe tenir par les épaules, c’est agréable, mais si tu laisses tomber, l’autre On doit à chaque fois écrire comme siSur le sable de la petitePeu importe la chose que nous haïssons, pourvu que nousVivre, c’est cheminer le temps d’un court voyage.L’espace La révolution par le peuple et pour Les hommes sont impossibles et pensent qu’ailleurs, leur vie est àToujours être en gaieté, met en PARTAGER