Evaluer cet article Mon regard, mon esprit, ne se posaient nul part, qu’ils se trouvassent à s’égratigner et s’endolorir. Journal, 14 janvier 1929. André Gide A Lire AussiLes oies sauvagesLa fille de joiePeu d’être sont capables d’exprimer Un assez épais brouillard adoucissaitDonner un verre d’eau enLa bonne musique ne seQu’est-ce qu’un adulte ? UnLe théâtre ne doit pas dépendreUn homme ne sert plus à grand-chose quand sa femme est Plus nous ouvrons les yeux, plus la nuit est profonde ; Dieu PARTAGER