Evaluer cet article Mon berceau a de ma tombe, ma tombe a de mon berceau. A Lire AussiLa museDe même que Rousseau jadis fondait en pleursLes lèvres de la guerreTout esclave a en mainA l’une ou l’autre enfinLa jeune fille se retourneQui pleure pour tout leL’effort vers la connaissanceJamais les philosophes ne ferontAimer et se marier, c’est bien différent. Aimer ne suffit PARTAGER