Je n’entends que le silence
Celui de tes pensées
Je n’épouse plus tes mots
Harmonisant notre tempo
Mes larmes tombent.
Parfumant mon âme sans confidence
Emanant le souffle transparent
De ta pensée inexistante
Celui de tes pensées
Je n’épouse plus tes mots
Harmonisant notre tempo
Mes larmes tombent.
Parfumant mon âme sans confidence
Emanant le souffle transparent
De ta pensée inexistante

Mes larmes coulent telle une ondée
Caressant ma peau de ses tourments déposés
Mes larmes versent la peine
D’une âme attristée
Meurtrie dans ses veines
D’être désarmée d’une complicité
Tant recherchée et tant espérée
Mes larmes coulent comme des perles
Peinturant ma joue de ses grains de chagrin
Mes larmes coulent…
Serais-je devenue
Soldat de mes peurs ?
Devrais-je me désarmée
D’un simple bonheur ?