Cultivons nous
Sur le chemin qui mène
Des racines aux ramures
Il a dû m'arriver de jeter des cailloux
Comme un Petit Poucet
Dans sa partance en sème
Pour traverser les bois muni d'un garde-fou
Mais la terre respire
Et les traces s'estompent
Dans les méandres du temps
Les pierres aussi se noient
Au cadran de la vie les heures s'égrènent
Et l'oubli vient trôner
En mon coeur comme un roi
© Jacques Herman – 2007
J’ai toujours aimé courir
Pour qu’un enfant grandisse,- Ores, plus que jamais,
- On s’attaque à ta vie privée
Etre véritablement modeste, c’est comprendre que le sentiment que nous avons de
L’amour n’est rien d’autre que la suprême poésie de la
A vouloir vivre avec son
Quelle est la différence entre une fille sage et une
Extrême cruauté de notre société. On accepte seulement les ”couples” comme
Ne méprise personne,