Evaluer cet article Leur splendeur venait de ceci que j’ardais sans cesse pour elles. Les Nourritures terrestres écrit en 1897. André Gide A Lire AussiLa société n’est pas confortable àPour sept semaines ilIl faut caresser les hommes ou s’en assurer.L’âge où l’on se décide à être jeune importe Je ne juge pour ainsi dire jamaisUn vieillard endormi, on diraitL’eau fait pleurer,Beau ciel à la Saint-Romain, il y aura des L’IrlandeLes plaisirs sont plus vifs PARTAGER