Evaluer cet article Le métro est un endroit éminemment sartrien où, à huis clos, chaque voyageur devient la proie de tous les autres. Journal, V. François Mauriac A Lire AussiRien à lui dire pour ma défenseEntre deux maux, il fautMeilleur que mille motsLes vieuxPauvre je suis de ma jeunesse,Les fils ressemblent à leurs pères.C’est un homme qui demande à un banquier : – Pouvez-vous me Que ce qui est plus fort qu’un lionSi on ne sait pas faire de l’amour cet absolu auprès de quoiMais où est-ce que je prends donc tout ce temps pour ne PARTAGER