Evaluer cet article La main qui me tue Rend sous mes déplaisirs ma constance abattue. Cinna, ou La clémence d’Auguste. Pierre Corneille A Lire AussiSans échec, pas de morale.Qu’un monstre tel que vousLe génie est l’extrêmeLes filles sont un autreJe donnerai ma tête, si l’onDeuxième partie XIII: L’enlèvementParler de taureaux, ce n’est pas comme êtreLa nuit tous les chats sont gris mais les chattes, il n’yLes mythes naissent toujours parce que quelque chose ne fonctionne pas. Parce qu’uneJe crois que j’ai une mauvaise nouvelle pour vous PARTAGER