Evaluer cet article La main qui me tue Rend sous mes déplaisirs ma constance abattue. Cinna, ou La clémence d’Auguste. Pierre Corneille A Lire AussiL’araignée. Une petite mainLa roue de la Fortune tourne plus vite que celleUn bon cheval ne devient jamais une rosse.Bien plus que le triangle des Bermudes, le monstre du LochA la Sainte-Denise, FinieLes Fourberies de Scapin ACTE III Scène 11Réchauffe-toi, mais ne teMelancholiaLe plaisir érotique est une course d’obstacles. L’obstacle le plus attrayant et le plusL’adjectif PARTAGER