La dérision

Dans  Poésie Jacques Herman
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La dérision m’est un vertige

Qui m’élève en un pays

Sans frontières et qui confine

A l’absolu

A l’infini


Elle se rit des ruines

Des savants discours

Elle échappe à l’intelligence

Aux lueurs blafardes du jour


Tandis qu’un chat s’agrippe

A la peau nue de ma conscience

Un parfum de femme

Inconnue me titille

M’interpelle

Tourbillonne autour de moi

Puis s’éloigne

Et finit

Par se dissoudre dans l’air

Comme le sel de la terre

Se perd au fond de l’eau


La dérision m’est une force

Qui me révèle l’agonie

Des choses d’en haut

Et des choses d’en bas


Et dans un rayon rosâtre

Du soleil couchant

C’est l’ombre d’Hermès

Trismégiste qui s’en va




© Jacques Herman – 2007

 



La dérision

Dans  Poésie Jacques Herman
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La dérision m’est un vertige

Qui m’élève en un pays

Sans frontières et qui confine

A l’absolu

A l’infini


Elle se rit des ruines

Des savants discours

Elle échappe à l’intelligence

Aux lueurs blafardes du jour


Tandis qu’un chat s’agrippe

A la peau nue de ma conscience

Un parfum de femme

Inconnue me titille

M’interpelle

Tourbillonne autour de moi

Puis s’éloigne

Et finit

Par se dissoudre dans l’air

Comme le sel de la terre

Se perd au fond de l’eau


La dérision m’est une force

Qui me révèle l’agonie

Des choses d’en haut

Et des choses d’en bas


Et dans un rayon rosâtre

Du soleil couchant

C’est l’ombre d’Hermès

Trismégiste qui s’en va




© Jacques Herman – 2007

 



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