Evaluer cet article J’imaginais, j’entendais l’appel désespéré, puis le retombement, de cette âme aimante que tout, sauf Dieu, désertait. Si le grain ne meurt écrit en 1926. André Gide A Lire AussiTout est possible de la part d’unNous mourrons à toute heure;Napolitain,Le secret, c’est laLe savoir est un pouvoir.Quelle est la différence entre un œuf et un peigne C’est deux vaches qui discutent dans un pré:La Deux amies discutent. L’une dit : – Tu sais quoi ? Le courage consiste à dominer sa peur, non pasSoleil de Saint-Germain, nous promet du bon vin. PARTAGER