Evaluer cet article Je vois, je sais, je crois, je suis désabusée. Polyeucte. Pierre Corneille A Lire AussiVaisseaux d’antanJeanne fait son entréeLes laides, on ne saurait enCe qui vient de laQui paie ses dettesEn novembre, si la premièreJ’entends corner sans cesse à mesCelui qui s’allège avant le mois de mai,Matin à forte rosée, tonnerre en fin deLa paresse est le commencement de la misère. PARTAGER