Evaluer cet article Je veux bien que, l’existence une fois admise, celle de la terre et de l’homme et de moi paraisse naturelle, mais ce qui confond mon intelligence, c’est la stupeur de m’en apercevoir. Les Nourritures terrestres écrit en 1897. André Gide A Lire AussiQue dit un coq pour faire la courAraignée du matin, chagrin ; araignée du midi, souci ;Le serpent. Trop long. – LeHélas ! si tu prens garde aux erreurs que j’ay faitesLe passé, pour peu qu’on yAvant le jour de sa mortLes moutons se promenent ensemble mais n’ont pas le memeLe poète sait jouer sur uneUne vie à laquelle l’examenA la saint-Christian temps sanguin, annonce pluie du PARTAGER