Evaluer cet article Je veux bien que, l’existence une fois admise, celle de la terre et de l’homme et de moi paraisse naturelle, mais ce qui confond mon intelligence, c’est la stupeur de m’en apercevoir. Les Nourritures terrestres écrit en 1897. André Gide A Lire AussiLe monde ne sera pas détruitLe poète est mortDes millénaires deLe goût mûrit aux dépens duUne lanterne sourde à la main,La vieille camarde en cheveuxQuand le pain est chaud, le beurre fondDeux lions discutent : Allez, avoue que tu es amoureux !C’était à prévoir !A partir du 1.6.2005 la limite de 0.5 Cette émulation à inventer des routes plus légitimes vers une mort qu’on l’on a PARTAGER