Evaluer cet article Je perdrai qui me perd, ne pouvant me sauver. La mort de Pompée. Pierre Corneille A Lire AussiJe ne vais pas à la messeIl fut forcé de se choisir un adjoint,La police est sur les dents,Quand les gros maigrissent,Vie de garçon, vie deMai sans rose, Rend l’âme Tout ce que tu laboures, tu le Noël au balcon, enrhumé comme un con.Trois enfants discutent – Mon père il conduit le TGV et en deux heuresUn bon vieillard ressemble à un bon vin qui a déposé PARTAGER