Evaluer cet article Je perdrai qui me perd, ne pouvant me sauver. La mort de Pompée. Pierre Corneille A Lire AussiNous sommes rêvés parIl y avait donc dix-neuf jours queAmi de chacun, amiLorsque quelqu’un te jure uneLe flirt est l’aquarelle de l’amour.“Quand votre oreille gaucheGrand éloge de vous onDonner peu ne signifie pas qu’on est pingre.Dieu habite dans unHeureusement que c’est le boeufOn cause du passé, couleur PARTAGER