Evaluer cet article Je ne me regarde pas sans surprise. Ce qui me frappe d’abord c’est mon inutilité et pourtant je n’arrive pas à me persuader que je n’arriverai jamais à rien. Journal 9 octobre 1894. Jules Renard A Lire AussiC’est parce qu’on ne peut seOn ne dira jamais assez le mal queLe vin est innocent, l’ivrogne seul est coupable.Un concerné n’est pas forcément un imbécileLa mort comme tremplin d’une espérance absolue. Un monde où la mort On oublie vite les morts. On oublie très vite, aussi, les circonstances où l’on La vie ressemble à un conte;Les rois n’ont point deS’il y a pain et vin, le RoiAucun livre ne peut nous sauver PARTAGER