Evaluer cet article Je le revois si bien ! un peu dégingandé, comme un enfant grandi trop vite, flexible, délicat. Si le grain ne meurt écrit en 1926. André Gide A Lire AussiLubricitéTous les amoureux ont douze ansSupprimer les gages duJe sais ce que je suis et ceNon seulement je ne suisJe commence à être vieux, ceL’eau gâte le vin, laUne habitude acquise à l’âge de trois ans continueLa forêt manque de bûches de cois, on passe la nuit avec un feuQuelles sont les trois grandes crises dans la vie d’un PARTAGER