Evaluer cet article Je dis “vous” à mon impressario. Avec l’argent qu’il me prend, j’ai toujours cru qu’ils étaient deux. Thierry Le Luron A Lire AussiQui taille sa vigne en février, n’a besoin ni deLe présent est toujours trèsLes plus beaux rêves deJe suis ce roi des anciens tempsLe théâtre, c’est du présent mis en bouteille. Quand on m’attaque, je peuxMarguerite Yourcenar, histoire et biographie de YourcenarDure l’hiver jusqu’à ce queUn indien est en trainHIPPIAS, DAPHNÉ. PARTAGER