Evaluer cet article Je dis “vous” à mon impressario. Avec l’argent qu’il me prend, j’ai toujours cru qu’ils étaient deux. Thierry Le Luron A Lire AussiOn devrait décorer quiconque attendrait l’âge de soixante ansLa diplomatie ressembleLe premier axiome deElle était généreuse parIl est moins facile de régler le coeurLe plus ou moins de finesseAimer sans être aiméeDifférence entre la jeunesseEn le questionnant, tuCe sont des péchés qu’on le PARTAGER