Evaluer cet article Je crains ce que je cherche, et je ne connais pas De plus grand heur pour moi que d’y perdre mes pas. Clitandre. Pierre Corneille A Lire AussiLe difficile n’est pas d’être avec ses amisC’est la LUCIDITEAgneau à Pâques, cabri à laLa TrompetteAoût mûrit les fruits, –Personne n’est plus heureux queLes gouvernements ont l’âge deSi tu vois l’herbe en janvier, serre ton A la Saint-Maur, tout est mort.Il est plus facile de louer la pauvreté que de la PARTAGER