Evaluer cet article J’avais mis mes souliers devant la cheminée, le père Noël m’a apporté des pieds. Le chat Ecrit par Philippe Geluck A Lire AussiLe promenoir des deux amantsSi un jour on supprimait lesUn oeil est un meilleur témoin que deux La litière est en train deChaque livre a son point faible, comme chaque homme aLes diseurs de maximesCiel serein montagne obscure ne t’y fies pas car rien Nul n’est méchant volontairement.Le riche avare est semblable à un âne chargé Après avoir longtemps erré sur le rivage PARTAGER