Evaluer cet article Jamais elle n’avait désiré si ardemment de vivre Thérèse Desqueyroux 1927 Une citation de François Mauriac A Lire AussiPetit coucherIl est navrant de songerLa goutte d’eau séparée deAucun contact humain, maisIl y a des poignards dansCe qu’il y a de bon pourCONSTATATION DES HOMMES ET DES FEMMES…Rosée matutine, pluie sérotine.Les hommes savent haïr. Les femmes ne savent Prends ton parti de mes défauts, je m’arrangerai de tes PARTAGER