Evaluer cet article Il voyait le moins possible de personnes qu’il pouvait afin de s’épargner le plus possible l’ennui des enterrements. Journal 18 avril 1894. Jules Renard A Lire AussiJe hais les coeurs pusillanimesJ’ai plié la langueLa vertu trouveL’amour a ceci de singulierLa fable est la soeur aînée deNoël gelé, moisson grainée, Noël mol, moisson molle.A mi-février, mi-grenier.A saint-Modéran, corneilles plein les champs.Il est certain que les sottises cessent d’êtreC’est le langage qui crée l’homme. PARTAGER