Evaluer cet article Il ouvrit le piano, frappa quelques accords, puis se lança dans une petite étude de Stephen Heller, en forme de fanfare, qu’il mena d’un train d’enfer et avec un étourdissant brio. Si le grain ne meurt écrit en 1926. André Gide A Lire AussiDepuis longtemps, bienCelui d’entre vous qui se croit sage, qu’il embrasse la folie pour trouver laHeureux celui qui, sans paresseOuvrez-moi, Sincero, de vos pensers la porteOh ! laisse frapper à la porteLe secret du bonheur et le combleL’auteur et les sourisQuel est l’animal qui court le plus vite ?Lorsque l’on tarde pour laQui va chercher son repas de fête perd sa PARTAGER