Evaluer cet article Il ne lui restait plus qu’à enrouler à côté de ça quelques mètres de boyaux, sans oublier le culier qui donne de l’espace et du lyrisme. Le Hussard sur le toit (1951). Jean Giono A Lire AussiIl y a des consciences comme des bovidés, certains tirent laLa veillesse, c’est quandTel se croit dans uneTrois choses éprouventUn nouveau poète avec la Poésie tritan CorbièreQui n’a pas de siègeJe refuse tout nouveau combat.En fin de compte tout est littérature. La vie, l’amour, la mort. Aucun des sujets soitPhilosopher, c’est apprendre PARTAGER