Evaluer cet article Il montait dans sa chambre, la dernière bouchée avalée. Le Noeud de vipères 1932 Une citation de François Mauriac A Lire AussiChaque chose a sa place, une place pour chaqueLe personnage que nous sommes, c’estIl y a beaucoup d’hommesUn peuple qui a peur est un peuple Si l’on veut vivre d’une vieSi la chute de feuilles est tardive, laL’oisiveté est, dit-on, la mèreVent d’octobre est la mort des feuilles.Entre juillet et août, le boire est deUne nation qui produit de jour PARTAGER