Evaluer cet article Il lui arrive assez souvent de ne pas achever ses phrases, ce qui donne à sa pensée une sorte de flou poétique. Les Faux-Monnayeurs écrit en 1925. André Gide A Lire AussiIl y a un critère de la véritéC’est les jeunes qui seEpuisée par ses heuresBonne enclume n’a pasLa contre-protestation desBeaucoup de pluie enJe t’aime, c’est-à-dire queL’homme politique s’exprime d’abord par ses actes ; c’est d’eux dont il est comptableLa mère est ici-basA la sainte-Croix, semailles partout. PARTAGER