Evaluer cet article Hâtons-nous ; le temps fuit, et nous traîne avec soi. A Lire AussiPersonne ne peut voir au soleilElizir d’AmorStances à HélèneJe me suis donc évertué à lui peindreQui aime l’arbreS’il y avait deux Pâques –L’étude est le garde-fou deLa peur est la soeur deAvec le blé se cueille et la paille etOù reste le destin, quand cinq mille individus naissent PARTAGER