Cultivons nous
La vie s’en va mon enfant
Sans laisser la moindre trace
Sans laisser la moindre trace
Au poste-frontière
Est une lourde barrière
Rouge rayée de blanc
Parfois baissée
Où deux femmes
Vêtues de vert
Viennent s’appuyer souvent
Dans l’attente de gens qui passent
Sans jamais rien déclarer
Ni regrets
Ni remords
Au-delà de la colline
Bleuâtre à l’horizon
Se situe dit-on
Le pays des morts
© Jacques Herman – 2007
Qui veut vivre en paix,
Le maître demande à Toto :
– Qui a cassé le vase de Soissons ?
– 
Ce que l’on craint arrive plus facilement que ce 
Qu’est-ce qu’on obtient si on croise un pitbull et un yorkshire ?
– Un yorkshire 
Nous vivons les uns sur les
Pluie fine de Saint-Augustin, C’est comme s’il pleuvait du 
Votre aujourd’hui, c’est
Le plus complet abandon
Venise : quelle ville pour les marins ! Tout flotte et
Une des qualités fondamentales pour vivre à deux