Evaluer cet article Comme pour l’Inde plus j’allais au Japon, moins j’avais l’impression de comprendre. J’approchais un mystère Alain Corneau A Lire AussiLa mère qui pleureLe Cid ACTE IV Scène IIBrume sur la colline présage de calme, brume dans la valléeQuand l’amandier est en fleur, la nuit égale La gravité du châtimentLes gens heureux n’ont pas deSe fier à une voix, c’est parfois comme suivre une femmeIl n’y a de force que dans le Le plus grand homme n’estQuand à Saint-Raoul, le PARTAGER