Evaluer cet article Ceux qui me reprochent un ego gigantesque peuvent toujours le faire, mais dans mon dos comme disait Flaubert, car mon cul alors les contemple. Fabrice Luchini A Lire AussiCoeur contre coeur Qui se croitJe t’envoie des wagons deJe n’ai jamais vécu qu’aprèsLe Tour du monde en quatre-vingts jours Chapitre XVMarche forcéeVaches flairant l’air et les pieds léchant, signe assuré deCelui-là est sans foi, qui n’est capable de rienL’apparence est un rideau derrière lequel on peut faire tout ce que l’on veut, C’est alors que la verve insolemment m’outrage. PARTAGER